Petit Air ( Guerrier )
Stephane Mallarme
Ce me va hormis l’y taire Que je sente du foyer Un pantalon militaire À ma jambe rougeoyer L’invasion je la guette Avec le vierge courroux Tout juste de la baguette Au gant blancs des tourlourous Nue ou d’écorce tenace Pas pour battre le Teuton Mais comme une autre menace À la fin que me veut-on De trancher ras cette ortie Folle de la sympathie.
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