Une Dentelle S'abolit
Stephane Mallarme
Une dentelle s’abolit Dans le doute du Jeu suprême À n’entr’ouvrir comme un blasphème Qu’absence éternelle de lit. Cet unanime blanc conflit D’une guirlande avec la même, Enfoui contre la vitre blême Flotte plus qu’il n’ensevelit. Mais, chez qui du rêve se dore Tristement dort une mandore Au creux néant musicien Telle que vers quelque fenêtre Selon nul ventre que le sein, Filial on aurait pu naître.
Next 10 Poems
- Stephane Mallarme : Une Negresse Par Le Demon Secouee
- Stephane Mallarme : Victorieusement Fui Le Suicide Beau
- Osip Mandelstam : A Flame Is In My Blood
- Osip Mandelstam : Brothers, Let Us Glorify Freedoms Twilight
- Osip Mandelstam : I Dont Remember The Word I Wished To Say
- Osip Mandelstam : Insomnia. Homer. Taut Canvas.
- Osip Mandelstam : Petropolis
- Osip Mandelstam : Rome
- Osip Mandelstam : Silentium
- Osip Mandelstam : Sisters
Previous 10 Poems
- Stephane Mallarme : Tristesse D'ete
- Stephane Mallarme : Tout Orgueil Fume-t-il Du Soir
- Stephane Mallarme : Tombeau De Paul Verlaine
- Stephane Mallarme : Toast Funebre
- Stephane Mallarme : Surgi De La Croupe Et Du Bond
- Stephane Mallarme : Sur Les Bois Oublies Quand Passe L'hiver Sombre
- Stephane Mallarme : Soupir
- Stephane Mallarme : Si Tu Veux Nous Nous Aimerons
- Stephane Mallarme : Ses Purs Ongles Tres Haut Dediant Leur Onyx
- Stephane Mallarme : Salut